COMME J’ÉTAIS EN QUELQUE SORTE AMOUREUX DE CES FLEURS-LÀ

Comme j'étais en quelque sorte amoureux de ces fleurs-là…

Avec le soutien du Théâtre-Studio d’Alfortville, du CENT QUATRE, du Théâtre de Vanves et de Confluences

Spectacle lauréat du prix Paris Jeunes Talents 2012

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Entre Télégraphe et Mairie des Lilas, à l’aide d’un micro, deux explorateurs candides redécouvrent un territoire. Un territoire mouvant, incertain, un territoire qui va en se dématérialisant, et qui pourtant ne cesse d’être une ligne de démarcation. Ils errent, cueillent des sons, des ambiances, des témoignages.

Ils ont volontairement choisi une porte de Paris qui ne leur appartient pas, une porte comme un symbole d’un point de passage d’un côté à l’autre de la frontière : la porte des Lilas. Une porte où le périphérique a été couvert, où la frontière physique séparant la capitale de sa banlieue s’estompe, se délite…

Il y a une dizaine d’années, ils ont fait un trajet les amenant de leurs villes de banlieue jusque dans Paris.

En l’espace de deux stations de métro, ils voyagent dans leurs souvenirs et interrogent leurs identités en même temps que cette frontière qu’ils portent en eux.

Ce parcours, cette traversée, se dessine comme une exploration sensorielle de cet espace, de la mémoire de cet espace, de leur propre mémoire.

Comme j’étais en quelque sorte amoureux de ces fleurs-là propose une odyssée urbaine et sensible de part et d’autre du périphérique.

Une création de David Farjon et Zoumana Méïté

Lumières : Anne Muller

Dispositif sonore : Jérémie Gaston-Raoul

Créé au théâtre de Vanves en janvier 2013

Comme j'étais en quelque sorte amoureux de ces fleurs-là… une création de la Cie Légendes Urbaines
« Comme j’étais en quelque sorte amoureux de ces fleurs-là Je suis entré par la porte Par la porte des Lilas »
Georges Brassens, Les Lilas